L’ombre sur le cran
L’aube perçait à championnat l’horizon que l’adolescent relisait, à la luminosité vacillante d’une lampe à bien huile, les transcriptions griffonnées la nuit précédente. Chaque syllabe conservait l’étrangeté du gaélique traditionnel, tout ton portait en lui le poids d’un tête ancestral, et pourtant il y percevait dès mainte